Bon cette nouvelle m'énerve un peu, je vai donc, mettre la fin d'un coup, et commençai a potaser ma suivante...
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Chapitre 4 : N’abandonne jamais
Le temps passait très vite, le mois de Juin était déjà là et le brevet aussi.
- Génial, dans deux semaines c’est le brevet ! ironisât Christie.
- Et toi Gally ça va les cours particuliers avec Roy ? insinua Lisa.
- De quoi parles-tu ? Il m’aide c’est tout !
- Mais bien sur ! dit Elénor.
- De toute façon, il faut que je lui rende un truc on se voit en maths.
Une fois Gally partie, elles reprirent la conversation.
- Ce n’est pas croyable ! Comment peut-on être empoter a ce point ! déclara Cassandra.
- J’ai peut-être une idée, proposa Elénor.
- Je croyais qu’il ne fallait pas s’en mêler ? demanda Christie.
- Oui, mais l’heure est grave, répondit Elénor. Vous me faites confiance ?
- Non ! répondirent ses amies.
- Ah bah sympa, merci ! Voila mon plan : A Binic mes parents on une villa au bord de la mer on pourrait y aller avec Roy sous prétexte de se remettre du brevet, et le charme de la plage fera le travail.
- Mouais ! Pourquoi pas au point où on en est de toute façon ça ne peut pas être pire ! décréta Cassandra.
- Gally risque de trouver ça louche si comme garçon tu invites seulement Roy, fit remarquer Lisa à Elénor.
- Tu as raison je vais inviter Millardo, Raphaël, Alex et John, réfléchie t-elle.
- Tu penses qu’ils vont accepter ? demanda Christie.
- Entre rester chez eux, et la perspective de nous voir en maillot de bain, ils auront vite fait le choix ! dit Elénor assez fière.
Elénor avait réussi à convaincre ses parents de lui prêter la villa durant le mois de Juillet. Gally et les garçons avait accepté l’invitation.
Mais il y avait plus urgent : à la fin de la semaine il y avait le brevet, le collège avait laisser aux troisième le Lundi ainsi que le Mardi et le Mercredi pour les révisions.
Cassandra la génie des maths c’était improvisée prof pour Lisa.
- Bien, regarde c’est facile tu vas voir pour démontrer… tu utilises… sans oublier… et voilà c’est facile, dit Cassandra.
- Mais bien sûr, c’est si simple ! Pourquoi ni avais-je pas penser ! rétorqua Lisa, qui n’avait pas tout suivi.
Quant à Elénor qui ne jurait que par l’histoire elle s’occupait de Christie et Gally. Elle leur avait distribué une feuille où était inscrit différentes dates.
- C’est quoi ces petits machins ? demanda Christie.
Elénor lui prit la feuille des mains et la lui rendit dans le bon sens.
- Des petits mots ! C’est pour que vous sachiez les dates les plus importantes de l’histoire.
- Quoi ?! Toute ces dates sont à savoir par cœur, dit Gally affolée.
- Parfaitement. Sans regarder la feuille, dis moi la date de la chute du tsarisme ?
- Du quoi ?!
- Mon dieu ! Je sens que je vais y passer ma journée !
Le brevet était terminé, les filles allaient pouvoir enfin se reposer.
- Ouf c’est terminé ! Un bon mois de vacances à Binic me fera du bien ! déclara Cassandra, en s’étirant le cou.
- Je te rappelle qu’on à une mission là-bas, chuchota Lisa à l’oreille de Cassandra.
- Les réponses du brevet vont être données début Juillet, comment allons nous faire ? demanda Gally.
- Ne t’inquiète pas tes parents iront voir pour toi et te téléphoneront.
Millardo, John, Roy, Raphaël et Alex vinrent à la rencontre des filles.
- Alors ça a été la dernière épreuve ? demanda Millardo.
- Ouais tranquille, répondit Christie.
- N’oubliez pas vous venez devant chez moi Lundi à huit heures précises, rappela Elénor.
- Oui mon colonel ! Bien mon colonel ! s’exclama Roy en se mettant au garde a vous.
- Ok, bon moi j’y vais, je vais préparer mes valises, dit Lisa. A Lundi.
- Il faut que j’y aille aussi à plus, déclara Gally.
Toute la troupe était rentrée chez eux. Qui sait ce qui se passerait pendant ces vacances !
Chapitre 5 : Opération Plage
Le trajet dura dix bonnes heures. Une fois arrivée la troupe regarda la villa.
- C’est ça que tu appelles une villa ? demanda Gally étonnée.
- Pourquoi ça ne vous plait pas ? répondit Elénor.
- Moi j’appelle ça un hôtel, c’est super grand ! rajouta Lisa.
- Vous allez vous y faire l’aile principale est pour la restauration, fête etc. L’aile Ouest pour les chambres et enfin l’aile Est contient la piscine d’intérieure et une salle de sport, ainsi qu’une bibliothèque, expliqua Elénor.
- Il me vient a l’esprit une question très bête, mais je vais la poser quand même : pourquoi il n’y a personne sur la plage ? Il n’est pourtant pas tard, demanda Christie.
- C’est un domaine privé le public n’y a pas accès, dit Elénor.
- Ah vous voilà Elénor, dit le majordome. Nous vous attendions.
Quand les Kouroubia n’était pas là, le majordome Alfred, il portait un monocle argenté et avait des bacantes mais plus de cheveux, et la cuisinière Anna, sa femme, qui faisait également le ménage s’occupait des lieux.
- Vos chambres sont prêtes jeunes gens suivez-moi, dit Anna.
Le reste de la journée fut consacrée à la visite de la villa.
Le lendemain matin, une fois le petit déjeuner prit, nos amis firent une partie de Volley au bord de la plage.
- On fait partie fille contre garçon ! dit Millardo
- Faites vos prières les mecs, lança Gally.
- Cause toujours, renchérie Alex.
La partie durait déjà depuis une heure.
- C’est quoi ce binz ! Ok on déclare forfait, dit Roy essoufflé, alors que Christie envoya un smash qui frôla John.
- Eh ! Tu veux me tuer !
- Tu sais que j’en serais incapable ! ironisa Christie.
Leurs journées étaient principalement constituées de farniente, de bronzage, de volley où les garçons étaient impitoyablement écrasés, sans oublier la mer qui n’était pas en reste non plus.
Alex passait de la crème solaire sur le dos de Cassandra, Millardo et John était partis en ville, Raphaël se baignait avec Gally et Lisa, Christie et Elénor était sur la terrasse à l’abri d’un parasol.
- Au moins ce voyage aura servi à quelque chose regarde Cassandra et Alex ! dit Christie à Elénor.
- Oui, mais ne soit pas si défaitiste il reste encore trois semaines. Demain j’irais parler à Gally.
- Moi je m’occuperais de Roy.
- On parle de moi les filles ? demanda celui-ci.
- Non non, répondirent-elles.
- Bien, puis-je vous être agréable en quelque chose ?
- Moi, j’aimerais un parfait à la fraise, dit Elénor.
- Et moi un opéra, rajouta Christie.
- Qu’il en soit ainsi.
Il partit, puis revins dix minutes plus tard, avec les gâteaux et les déposa en disant :
- Mesdemoiselles sont servies.
- Merci, dit Elénor.
- Tant qu’on y est, j’aimerais un nouveau maillot de bain, demanda Christie.
- Mademoiselle exagère, rétorqua Roy.
Le lendemain Elénor alla voir Gally, qui lisait un article sur de vieux joueurs de basket, dans sa chambre. Elénor regarda par la fenêtre et déclara :
- N’as-tu jamais eu envie de chercher l’amour à l’extérieur ?
- Non, j’ai autre chose à faire, c’est pour ça que je reste ici !
Elénor regarda une nouvelle fois par la fenêtre, puis sortie d’un petit emballage de papier un cornet de glace, qu’elle commença à manger sous le nez de Gally.
- Tu ne partages pas ta glace avec tes camarades ? demanda Gally.
- Ce n’est pas une glace. C’est un cornet hypocalorique au lacto bifidus actif ! rétorqua Elénor.
- Je vois que tu apprécies les plaisirs de la vie. Quelle joyeuse luronne !
- Ca te vas bien d’ironiser Mlle Joyeuse Luronne. Tu passes ton après-midi enfermée alors qu’il fait beau, à lire des articles sur de vieux joueurs de basket qui sont tous morts. Ne réveille pas le chat qui dort !
- Bien, jouons au cliché ! Le travail, père de l’inspiration.
- La nécessitée, mère de l’invention, dit Elénor toujours en mangeant sa glace.
- Le chemin de l’excès mène au palais de la sagesse.
- La nuit porte conseil et qui vivra verra.
- Les hommes sont mortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est mortel.
- Mangeons et buvons car demain nous mourrons.
- Je me lève, tu te lèves, on se lève tous pour le cornet hypocalorique au lacto bifidus actif. Allez donne moi cette glace !
Gally essaya de prendre la glace de Elénor mais dans l’agitation la glace tombât sur l’article de basket. Elénor en voulant enlever les traces de glace fit tomber l’article révélant un magazine cacher.
- Gally ! Qu’elle fieffée menteuse ! Tu ne lisais pas d’article de basket !
- Non je lisais un magazine de jeu vidéo.
- Ca ne te ressemble pas, tu es sûre que ça va ?
- Je sais pas c’est Roy, J’ai l’impression qu’il veut qu’on sorte ensemble, dit Gally en devenant un peu rouge.
- Et toi ?
- Je ne sais pas trop.
- Essaye d’être heureuse, ça vaux le coup, rassura Elénor.
- Merci Elénor.
- De rien.
Pendant ce temps Christie parlait avec Roy.
- Dis tu comptes lui avouer un jour ? demanda t-elle.
- De quoi ?
- Que tu l’aimes.
- Tu crois que c’est si simple.
- Qui ne tente rien na rien ! Dis lui simplement que tu l’aimes, au moins tu sera soulagé.
- Tu as peut-être raison.
- Evidemment que j’ai raison.
Christie s’éloigna, Roy la regarda s’éloigner en se jurant qu’il avouerait tout à Gally ce soir.
La nuit tombait sur la terrasse. Les rayons de la lune se reflétaient sur la mer.
Gally regardait la mer, Roy la rejoignit.
- Magnifique coucher de soleil, dit-il.
- Oui très beau.
- Gally je… je t’… Je t’aime, avoua Roy.
Des larmes coulaient sur le visage de Gally.
- Excuse moi Gally.
Roy commençait à partir mais Gally le prit par la main.
- Ne pars pas ! Reste, reste avec moi.
Elle se jeta dans ses bras, il l’enlaçât, puis l’embrassa tendrement.
Les filles regardaient la scène par la fenêtre.
- Comme c’est mignon, dit Christie émue.
- Ce n’est pas trop tôt ! rajoutât Cassandra émue elle aussi.
- C’est touchant, renchérie Lisa.
- Qui se ressemble s’assemble ! conclua Elénor.
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Voila pour celle la.
Pour la suivante je metterai au fur et a mesur, mais avant ça, faut que je fasse quelque truk au brouillion, que je vous metterai, comme ça vous pourez me dite votre avie.