Mes nouvelles

Voila ma derniere nouvelle en date, je la trouve pas top of the top, mais Elo la trouve bien, donc je la met. Je meterai Chapitre par chapitre.


Chapitre 1 : Bienvenue au collège de La Rose Rouge



C’était un Lundi six Novembre, les feuilles mortes tombaient sur la cathédrale de Chartres. La tristesse c’était emparée de la ville. Tout n’était que mélancolie.
Non loin de là, se trouvait le collège La Rose Rouge, le plus grand établissement de cette ville.

Il disposait d’un stade et d’une grande salle de sport pour les divers clubs sportifs. L’établissement en lui-même comprenait deux étages et trois ailes, l’aile principale se trouvant au milieu des deux autres servait de bâtiment administratif, l’aile Est de bâtiment scolaire et l’aile Ouest était aménagées pour les clubs autres que sportif, ainsi qu’une grande bibliothèque.
La cour était vaste avec des pelouses, des bancs et des arbres plantés aux extrêmités, des parterres de fleurs contribuaient à la beauté de ce site, on en oublierait presque que c’est un collège. La cantine se trouvait parallèlement à l’aile Ouest, la nourriture était bonne. Il y avait même une cafétéria.

Comme toute les bonnes choses on une fin, les vacances était terminé. Finie la grasse matinée, au revoir les promenades entre amis toute la journée. Maintenant c’est au pied de guerre tôt le matin, la milice scolaire avait reprit. Les généraux ne toléraient aucun retard.
Les vacances ne sont appréciées que lorsque que l’on travaille !

La cour jusqu’à lors si tranquille redevenait terrain de bavardage, les élèves fourmillaient, discutaient entre amis, mais la gestapo du collège surveillait leur moindre fait et geste. Si par malheur un élève faisait une erreur, il était aussitôt emmené au bureau du Führer. La Rose Rouge était réputée pour avoir une discipline de fer.

Deux filles franchirent la grille d’entrée. La première était Elénor Kouroubia, d’origine Russe, née à Moscou. Ces parents étaient venus en France pour affaire. Son père était le PDG d’une grande banque de Russie et voulait l’implanter en France.
Elle avait quinze ans, faisait un mètre soixante-huit. Ces cheveux roux étaient coiffés comme Dana Scully lors des premières saisons de The X-Files, sa série préférée. Ces yeux d’un vert profond semblaient sonder l’âme des personnes qu’elle voyait. Elle aimait les parfaits à la fraise, les chats, son animal favori, elle aimait également lire des mangas. Elle était passionnée d’histoire. Elle était un peu prétentieuse. Elle occupait le poste de déléguée, de la classe des troisième C. Elle prenait très à cœur ce rôle, peut-être un peu trop même. Elle pratiquait le sambo hors du collège.
Elle portait un long pardessus marron, les manches étant un peu trop longue elle les avait retournée vers l’extérieur. Comme il n’était pas attaché, on pouvait voir une chemise blanche avec des boutons en nacre. Son pantalon était noir, ses chaussures à talons et ces gants en cuir étaient noirs également.
La deuxième fille était Lisa Douglas, âgée de quatorze ans, elle faisait un mètre soixante-cinq, ces cheveux étaient mi long brun et ces yeux noirs. Elle adorait les animaux et voulait diriger un cabinet vétérinaire, douée en informatique elle était la rédactrice en chef du journal du collège.
Elle portait un long pull bleu aux manches larges qui virevoltait au gré du vent, et un pantalon de même couleur, tout aussi large. Ces baskets étaient noires.
Lisa et Elénor étaient des amies de longue date.
- Alors Lisa tu t’habilles toujours à la blue attitude !
- Eh ouais ! Tes vacances se sont bien passées ?
- Oui, je suis allée à Moscou quelques jours.
Elles continuèrent à avancer dans la cour tout en papotant sur leurs vacances.
Une fille de leur classe les interpella :
- Lisa, Elénor par ici !
- Salut Gally, ça va ? lança Lisa.
Gally Hilscher, était d’origine Allemande, née à Munich. Ces parents avaient quitté l’Allemagne deux ans après la chute du mur de Berlin. Elle avait quatorze ans, faisait un mètre soixante-quinze. Des cheveux bruns, courts, coiffés en bataille. Des yeux d’un gris qui reflétait une certaine tristesse. Elle n’était pas forcément une lumière dans les matières scolaires, elle avait juste la moyenne. Par contre elle brillait en sport, elle était très douée. Elle faisait partie du club de basket de l’établissement, dont elle était la présidente.
Elle était vêtue d’un tee-shirt blanc, d’un pantalon gris, du manteau bleu de l’équipe de basket et de basket noires.

Elles reprirent leur marche toutes les trois et furent bientôt rejoint par Cassandra et Christie.
Cassandra Alexandra avait quatorze ans pour un mètre soixante-sept. Ces cheveux blonds descendaient jusqu’aux fesses, ils étaient attachés en queue de cheval par un gros nœud rouge, seul deux mèches étaient restées détachées devant son visage. Ces yeux étaient bleus comme la mer. Elle aimait les fleurs et tout ce qui était mignon. Elle était la chef du club des majorettes.
Elle avait un pull rouge, à col qui tombait sur ses épaules. Son pantalon pourpre était rentré dans ces bottines noires.
Christie Valentine était la plus jeune du groupe avec ces treize ans, et son mètre soixante. Ces cheveux noir geai tombaient jusqu’aux épaules et ses deux mèches de devant qu’elle avait coloré en blanc cachaient ces yeux noisette. Elle aimait les armes a feu et faisait partie d’un club de tir hors du collège.
C’était la plus vive du groupe, elle était aussi curieuse et avait tendance à ce mêler de ce qui ne la regarde pas.
Le groupe au complet, elles continuèrent de parler.
Mais le moment fatidique arriva, la sonnerie retentie.
- Allez du courage ! dit Christie.
- J’ai pas envie d’y retourner non plus, mais on à pas le choix ! rajouta Cassandra.
- On a quoi déjà ? demanda Gally.
- Histoire il me semble, répondit Lisa.
- Super ! Enfin une bonne nouvelle ! dit Elénor enchantée.

Elles allèrent se ranger, à contre cœur. Retrouvant le reste de la classe, qui attendaient Mademoiselle Véyette, la professeur d’histoire, pour le premier cour de cette matinée.

J'adore cette histoire qu'elle idée de commencer par histoire le jour de la rentrée franchement (c'est ce qui m'arrive jeudi^^)
J'aime bien Eléanor elle a la classe^^

Merci. ^^

Au faite c'est Elénor. ^^

J'arrive pas a me faire a Elenor pour moi c'est Eléonor ou Eleanor^^

Merci. ^^



Chapitre 2 : Le train train du quotidien



Le mois de Décembre ouvrait ses portes apportant le froid et Noël aussi.
La neige recouvrait la cathédrale, on aurait cru un paysage de carte postale.

Christie se tournait et se retournait dans son lit, ses draps rembouchonnaient au pied de son lit et son tee-shirt faisant office de pyjama, sur lequel était dessiné un loup, était remonté au dessus de son ventre.
- Grrr, j’ai froid ! dit t’elle.
Elle daignât enfin lever la tête, regarda son réveil.
- Merde !!! Déjà huit heures j’vais m’faire tué !!!
Christie s’habilla en vitesse, prépara son sac.
Sa mère la vit courir dans le couloir.
- Bonjour Christie, au revoir Christie. Elle est incorrigible.
Dix minutes plus tard elle arriva enfin au collège, frappa à la porte de Français.
- Eh bien Christie ! Toujours égale a toi-même ! C’est quoi ce matin ? fit la prof de Français.
- Mon chien courait après un chat et moi je courais après mon chien, ça a duré longtemps !
Toute la classe se mit à rire, madame Journier était très en colère.
- Ca suffit ! Toi va à ta place et vous taisez-vous ! meugla la prof en colère.
Le reste du cours de Français continua comme tous les autres jours, dans l’ennui la plus total. La sonnerie sonna enfin.
- Elle commence à me saoûler celle-là ! Elle a jamais eu de panne de réveil ou quoi ! s’exclama Christie.
- Tout de même tu y vas un peut fort, résonna Elénor.
- Personnellement j’ai trouvé ça très drôle, dit John, un garçon de la classe.
John Sorel était grand, brun avec les yeux noirs, toujours souriant.
- Bien sûr jusqu'à ce qu’elle se retrouve en conseil de discipline, déclara Elénor fâchée.

Elénor, Christie, Lisa et Gally s’étaient réunies dans la cour et discutait a tout va.
- Pas envie d’aller en sport ! déclara Christie.
- Je ne veux pas voir l’autre tortionnaire ! renchérie Lisa.
Un garçon s’approchas du groupe et parla à Elénor :
- Tiens, merci de m’avoir prêté ton cahier, c’est sympa.
- De rien Millardo c’est mon rôle de délégué, répond dit-elle en souriant.
Il sourit à son tour et s’en alla.
Millardo King était d’origine Anglaise, fils de bonne famille. Il avait la même taille qu’Elénor, ses cheveux était blond et ses yeux vert clair. Parfois il lui arrivait d’être sarcastique.
- Tien ou est Cassandra ? demanda Gally.
- Là bas avec son chéri, dit Christie.
- Théoriquement il ne sont pas encore ensemble, rappela Lisa.
En effet, Cassandra parlait avec Alex, un ami.
Alex Broch était l’un des premiers de la classe. Comme Cassandra il aimait particulièrement les maths. Il était aussi grand que Gally et faisait parti du club de basket. Ses cheveux étaient bruns et ses yeux noirs.
Cassandra fini par rejoindre ses amies.
- Bah quoi qu’est-ce que vous avez à me regarder comme ça ? demanda t’elle.
- Rien rien, rétorqua Elénor.
- Bon ! Ce n’est pas le tout ! Mais faut se bouger sinon on vas être en retard au sport ! dit Gally impatiente.
- Et alors ? C’est un drame ? demanda Lisa.

Elles finirent par allez en sport, une fois changées elles allèrent jusqu’au stade.
- Quelle horreur ! J’aime pas l’endurance ! dit Elénor.
- Allez les filles on se motive ! dirent en cœur deux autres garçons de la classe.
Le premier était Roy Merquise assez grand, cheveux et yeux noirs. Le deuxième était son ami Raphaël Ross, grand, cheveux blond et yeux gris terne, il était parfois imprévisible.
- Vous avez raison, dit Elénor, aller en piste.
Elle commença à faire son tour d’échauffement et se pris les pieds dans un caillou.
- Magnifique manière de s’étaler Mademoiselle la déléguée ! se moqua Cassandra.
- La ferme, peau de vache ! rétorqua Elénor.
- Quoi !? Répète pour voir !
Alors qu’elles allaient commencer à en venir aux mains, le prof de sport intervint.
- Ca suffit vous deux ! Vous me ferez cinq tours supplémentaires pour la peine !
- Ah ah ah, rigolérent Roy et Raphaël, ces deux là sont incroyables.
Le reste du cours se passa sans encombres.

Les vacances arrivait à grand pas, et avec elle Noël. La neige tombait de plus belle.
Nos cinq amies décidèrent d’aller faire leurs emplettes.
- Qu’est-ce que je vais bien pouvoir acheter à mes parents ? dit Lisa en entrant dans le centre commercial.
Elénor s’approchât d’une bijouterie, entra et en ressortie cinq minutes plus tard.
- Voilà, moi j’ai achetée pour ma mère un collier en or et pour mon père une montre en or, ils vont être contents, leur dit-elle toute contente.
- Bon sang ! Comment tu fais pour dépenser une telle somme ?! dit Cassandra incrédule.
- A la place de parler de la taille du porte monnaie d’Elénor aidez moi à trouver un cadeau ! se plaignit Lisa.
- Pourquoi pas des peluches ? proposat Christie.
- Heu… Christie tu me fais peur là, dit Lisa.
Elles continuèrent à déambuler dans les galeries marchandes, à la recherche du cadeau tant convoité. Deux heures plus tard Gally s’exlamat :
- Bon, nous on a trouvé alors il y a pas de raison que tu ne trouves pas !
- Regarde Lisa une boutique de parfum. Qu’en penses-tu ? demanda Cassandra.
- Mais oui, je n’y avais pas pensé ! répondit Lisa enthousiaste.
Elle entra dans la boutique et en sortie avec un paquet.
- C’est bon j’ai enfin trouver la perle rare.
- Rentrons chez moi nous réchauffer devant un bon chocolat chaud, dit Christie en sortant du centre commercial. « j’en étais sûre elle on oublié mon anniversaire » se dit-elle.

Une fois arrivé dans la chambre de Christie, les autres se mirent en cercle autour d’elle.
- Bon Anniversaire, dirent-elle en cœur en tendant des cadeaux.
- Mer…Merci les filles je croyais que vous aviez oublier.
- Voyons pour qui nous prends-tu ? rassura Gally.
Gally avait acheté une peluche, Cassandra un bibelot chien, Lisa un jeu vidéo et Elénor deux revolvers placés dans un coffret de grande qualité.
- Ouah ce sont des vrais ? questionna Christie.
- Oui, ce sont de véritables revolvers. Ca sert d’avoir des parents qui ont le bras long ! Je sais que tu aimes les armes à feu. ce sont des Faiseurs de Veuves datant des cow-boys, des armes de collection. De toute façon il n’y a pas de munitions, répondit Elénor.
- Merci, vraiment. Tous vos cadeaux sont super.
- En parlant de cadeaux, je sais qu’on c’était promis de rien s’offrir, mais … voilà pour vous, dit Gally en sortant des cadeaux pour chacune de ses amies.
- Moi aussi j’en ai pour vous, tenez, dit Lisa.

Elles s’offrirent toutes des cadeaux de Noël. Cette journée s’était achevée avec une note de gaieté.

Cours d'histoire comme c'est chi*** ^^

J'adore Elenor quand elle dit avec sa voix genre c'est tout a fait normal :
"- Voilà, moi j’ai achetée pour ma mère un collier en or et pour mon père une montre en or, ils vont être contents"

J'adore la suite^^

XD Oui pas mal se passage, ou avec les revolvair ! XD Quentin la suportait pas, il trouvait qu'elle se la ramenait trop.

Il n'as pas tord non plus sa fait trop intello alors que toi...

Chapitre 3 : Le match du cœur



Les vacances de Noël étaient déjà terminées, les cadeaux donnés et les chocolats mangés.
Elénor se réveillait comme à son habitude en regardant son réveil « six heures trente, Mercredi dix Janvier » lui indiquait celui-ci. Elle alla manger et décréta qu’il était temps de s’habiller. Elle ouvrit son armoire puis fini par prendre un pull rouge a col roulé, un pantalon blanc, enfilât ses cuissardes en cuir marron ses gants en cuir noir prit un manteau officier rouge et attrapa son sac à la volée en partant.

La cour était déjà bondée.
- Eh bien, tu l’as eu où ton manteau Elénor ? Déléguée ça te suffit pas tu veux être militaire ! dit Cassandra.
- Je viens d’être promut colonel ! rétorqua Elénor. Parlons sérieusement c’est cet aprèm’ ton match de basket Gally ?
- Ouais, je compte sur vous pour m’encourager.
- Je vois déjà les gros titres de mon journal « L’équipe de La Rose Rouge bat à plate couture ses adversaire ! », imaginât Lisa.
- Je te rappelle que c’est un match amical Lisa, déclara Christie.
- Amical ! Amical ! C’est pas bon pour les scoops ! dit Lisa indignée.
La sonnerie retentie, elles allèrent donc se ranger. Le reste de la matinée se passa sans accros.

Le gymnase commençait déjà à être envahi par les spectateurs. Les basketteurs commençaient à s’échauffer.
Cassandra courait dans les couloirs pour ne pas être en retard. Lorsqu’elle et un petit garçon, d’environ dix ans venu probablement pour encourager les compétiteurs, se bousculèrent. Le petit tombât tête la première dans la jupe de Cassandra.
- Ah ah ah, J’ai vu ta culotte, dit’il en rigolant.
- Espèce de petit con vicieux ! rétorqua t’elle.
- Oh, de telles paroles ne devraient pas sortir de la bouche d’une fille, c’est fruste et mesquin !
- Je vais t’en donner moi de la mesquinerie !
- Ah ah ah, au revoir fille à la culotte blanche.
Le garçon reparti en courant. Cassandra se relevât en réajustant son nœud bleu dans les cheveux. Elle fini enfin par arrivé.
- Bah alors, tu faisais quoi ? Ca va bientôt commencer, demanda Christie.
- Un petit m’a bousculé et a vu ma culotte.
- Précoce ce petit gars ! dit Christie en rigolant.
- Mon dieu ! Je compatie… Ca a pas dû être facile pour ce petit, il a du frôler la crise cardiaque ! renchérie Elénor.
- Chut ! Ca commence ! intervena Lisa. Gally t’as intérêt de gagner je veux mon scoop !
Le match commença, cinq minutes plus tard l’équipe de Gally menait par cinq a trois.
- Allez Gally t’es la meilleure ! hurla Roy pour l’encourager.
- Ouais c’est vrai, rajouta Christie.
Il ne restait plus que cinq secondes la tension était à son comble. Gally prit le ballon, dribla…
- Et c’est le panier, cria l’arbitre. L’équipe de La Rose Rouge gagne.
- Mesdames et messieurs vous assister à du grand Basket ! déclara Gally.

A la sortie des vestiaires Roy attendait Gally.
- Tu as bien joué, bravo, dit-il.
- Merci.
- Bon on se voit demain.
- Ok, à demain.
Elle le regarda s’éloigné.
- Ca va Gally ? Tu as était génial, je vais faire un super article, assura Lisa.
- Oui, ça va merci.
- Tu es sûre ? Ca n’a pas l’air d’aller fort.
- Je sais pas trop c’est Roy il est bizarre en ce moment je trouve.
- Ah oui !? tu crois ?
- J’y vais à plus !
- Salut.
Lisa regarda Gally s’éloigner perplexe. « Hum, c’est louche çà ! Ca demande une enquête ! » Pensât-elle.
Elle marchait dans les couloirs tout en pensant à ça. Elle retirait un carnet de notes de son sac, des fiches techniques tombèrent en même temps. Elle fut rejointe par Elénor qui les ramassa.
- Tiens c’est quoi ?
- Ce sont les profils de chaque élève de la classe.
Elénor pacourat sa fiche. Dessus était inscrit ce qu’elle aimait, sa date de naissance et…
- Quoi ?! Y a même marquer le tour... ! Ou a tu eu une telle information ? demanda t’elle effarer.
- Ce n’est pas un secret d’état ! Tu es placée en deuxième position dans le classement d’ailleurs, répondit Lisa d’un air très sérieux.
- Traîtresse ! En tant que déléguée…
- Soyons sérieux ! Tu as vue Gally ?
- Oui, elle n’avait pas l’air heureuse son équipe à pourtant gagnée, répondit Elénor une fois calmée.
- Hum, je pense…
- Tu penses ?
- Quelle est amoureuse ! conclut Lisa.
- Pardon ! C’est ça ta conclusion ? Et puis-je savoir de qui ?
- De Roy.
- Et alors ça ne nous regarde pas ! Elle fait ce qu’elle veut ! Ne te mêle pas de ça !
- Moi ?! Me mêler de ce genre de chose, voyons pour qui me prend-tu ?! rétorqua Lisa sur un ton ironique.

Le lendemain matin a la récrée. Lisa toujours intriguée par Gally décida de savoir le fin mot de l’histoire en questionnant Roy. « Si je fait ça Elénor va me tuée ! Tant pis je prends le risque. ». Elle alla donc chercher Roy.
- Salut Roy. Je peux te parler ?
- Bien sûr. Que veux-tu ?
- Tu as vu hier, Gally a super bien joué.
- Oh ça oui je n’ai rien loupé, elle a un super jeu de jambe, ses adversaires n’ont qu’a restées où elles sont !
- Oui, mais ça je m’en fous ! dit Lisa en parlant à elle-même.
- Tu disais ?
- Non rien ! Je veux dire… comment tu la trouves ?
- Heu… J’ai peur de ne pas comprendre.
- Allons, allons, fait pas ton timide.
« Merde ! Il est coriace, ça ne va pas être du gâteau. »
Elle passa le reste de la récrée à lui poser des questions, plus ou moins sous entendues. Cinq minutes avant la sonnerie il finit enfin par avouer, qu’il aimait Gally, mais qu’il ne savait pas ce qu’elle ressentait pour lui. Lisa toute contente alla apprendre la nouvelle à Elénor, Christie et Cassandra.
Gally n’avait rien remarqué des sentiments de Roy en son égard.
- Il faut faire quelque chose, déclara Lisa.
- Certainement pas ! répondit Cassandra sur un ton catégorique.
- Je suis d’accord, laisons faire les choses, approuva Christie.
- Si on se mêle de ça, on va tout faire foirer, je compte sur toi Lisa, ne dit rien à Gally, dit Elénor.
- Bon d’accord, répondit Lisa résignée.

J'adore^^ Bon Alissa tu ne suis plus ou quoi , sa ne vas pas du tout^^

A ouai ta pauvre maman elle va souffrir a corriger toutes tes fautes^^

Et toi aussi ^^ ! Je lui en veu pas si elle a décrocher, vu l'interet de cette nouvelle ! XD

Ah ouai moi aussi quelle (merdasse) chance!!!!j'en suis très honorée XD

Bon cette nouvelle m'énerve un peu, je vai donc, mettre la fin d'un coup, et commençai a potaser ma suivante...


Chapitre 4 : N’abandonne jamais



Le temps passait très vite, le mois de Juin était déjà là et le brevet aussi.
- Génial, dans deux semaines c’est le brevet ! ironisât Christie.
- Et toi Gally ça va les cours particuliers avec Roy ? insinua Lisa.
- De quoi parles-tu ? Il m’aide c’est tout !
- Mais bien sur ! dit Elénor.
- De toute façon, il faut que je lui rende un truc on se voit en maths.
Une fois Gally partie, elles reprirent la conversation.
- Ce n’est pas croyable ! Comment peut-on être empoter a ce point ! déclara Cassandra.
- J’ai peut-être une idée, proposa Elénor.
- Je croyais qu’il ne fallait pas s’en mêler ? demanda Christie.
- Oui, mais l’heure est grave, répondit Elénor. Vous me faites confiance ?
- Non ! répondirent ses amies.
- Ah bah sympa, merci ! Voila mon plan : A Binic mes parents on une villa au bord de la mer on pourrait y aller avec Roy sous prétexte de se remettre du brevet, et le charme de la plage fera le travail.
- Mouais ! Pourquoi pas au point où on en est de toute façon ça ne peut pas être pire ! décréta Cassandra.
- Gally risque de trouver ça louche si comme garçon tu invites seulement Roy, fit remarquer Lisa à Elénor.
- Tu as raison je vais inviter Millardo, Raphaël, Alex et John, réfléchie t-elle.
- Tu penses qu’ils vont accepter ? demanda Christie.
- Entre rester chez eux, et la perspective de nous voir en maillot de bain, ils auront vite fait le choix ! dit Elénor assez fière.

Elénor avait réussi à convaincre ses parents de lui prêter la villa durant le mois de Juillet. Gally et les garçons avait accepté l’invitation.
Mais il y avait plus urgent : à la fin de la semaine il y avait le brevet, le collège avait laisser aux troisième le Lundi ainsi que le Mardi et le Mercredi pour les révisions.
Cassandra la génie des maths c’était improvisée prof pour Lisa.
- Bien, regarde c’est facile tu vas voir pour démontrer… tu utilises… sans oublier… et voilà c’est facile, dit Cassandra.
- Mais bien sûr, c’est si simple ! Pourquoi ni avais-je pas penser ! rétorqua Lisa, qui n’avait pas tout suivi.
Quant à Elénor qui ne jurait que par l’histoire elle s’occupait de Christie et Gally. Elle leur avait distribué une feuille où était inscrit différentes dates.
- C’est quoi ces petits machins ? demanda Christie.
Elénor lui prit la feuille des mains et la lui rendit dans le bon sens.
- Des petits mots ! C’est pour que vous sachiez les dates les plus importantes de l’histoire.
- Quoi ?! Toute ces dates sont à savoir par cœur, dit Gally affolée.
- Parfaitement. Sans regarder la feuille, dis moi la date de la chute du tsarisme ?
- Du quoi ?!
- Mon dieu ! Je sens que je vais y passer ma journée !

Le brevet était terminé, les filles allaient pouvoir enfin se reposer.
- Ouf c’est terminé ! Un bon mois de vacances à Binic me fera du bien ! déclara Cassandra, en s’étirant le cou.
- Je te rappelle qu’on à une mission là-bas, chuchota Lisa à l’oreille de Cassandra.
- Les réponses du brevet vont être données début Juillet, comment allons nous faire ? demanda Gally.
- Ne t’inquiète pas tes parents iront voir pour toi et te téléphoneront.
Millardo, John, Roy, Raphaël et Alex vinrent à la rencontre des filles.
- Alors ça a été la dernière épreuve ? demanda Millardo.
- Ouais tranquille, répondit Christie.
- N’oubliez pas vous venez devant chez moi Lundi à huit heures précises, rappela Elénor.
- Oui mon colonel ! Bien mon colonel ! s’exclama Roy en se mettant au garde a vous.
- Ok, bon moi j’y vais, je vais préparer mes valises, dit Lisa. A Lundi.
- Il faut que j’y aille aussi à plus, déclara Gally.

Toute la troupe était rentrée chez eux. Qui sait ce qui se passerait pendant ces vacances !














Chapitre 5 : Opération Plage



Le trajet dura dix bonnes heures. Une fois arrivée la troupe regarda la villa.
- C’est ça que tu appelles une villa ? demanda Gally étonnée.
- Pourquoi ça ne vous plait pas ? répondit Elénor.
- Moi j’appelle ça un hôtel, c’est super grand ! rajouta Lisa.
- Vous allez vous y faire l’aile principale est pour la restauration, fête etc. L’aile Ouest pour les chambres et enfin l’aile Est contient la piscine d’intérieure et une salle de sport, ainsi qu’une bibliothèque, expliqua Elénor.
- Il me vient a l’esprit une question très bête, mais je vais la poser quand même : pourquoi il n’y a personne sur la plage ? Il n’est pourtant pas tard, demanda Christie.
- C’est un domaine privé le public n’y a pas accès, dit Elénor.
- Ah vous voilà Elénor, dit le majordome. Nous vous attendions.
Quand les Kouroubia n’était pas là, le majordome Alfred, il portait un monocle argenté et avait des bacantes mais plus de cheveux, et la cuisinière Anna, sa femme, qui faisait également le ménage s’occupait des lieux.
- Vos chambres sont prêtes jeunes gens suivez-moi, dit Anna.
Le reste de la journée fut consacrée à la visite de la villa.

Le lendemain matin, une fois le petit déjeuner prit, nos amis firent une partie de Volley au bord de la plage.
- On fait partie fille contre garçon ! dit Millardo
- Faites vos prières les mecs, lança Gally.
- Cause toujours, renchérie Alex.
La partie durait déjà depuis une heure.
- C’est quoi ce binz ! Ok on déclare forfait, dit Roy essoufflé, alors que Christie envoya un smash qui frôla John.
- Eh ! Tu veux me tuer !
- Tu sais que j’en serais incapable ! ironisa Christie.
Leurs journées étaient principalement constituées de farniente, de bronzage, de volley où les garçons étaient impitoyablement écrasés, sans oublier la mer qui n’était pas en reste non plus.

Alex passait de la crème solaire sur le dos de Cassandra, Millardo et John était partis en ville, Raphaël se baignait avec Gally et Lisa, Christie et Elénor était sur la terrasse à l’abri d’un parasol.
- Au moins ce voyage aura servi à quelque chose regarde Cassandra et Alex ! dit Christie à Elénor.
- Oui, mais ne soit pas si défaitiste il reste encore trois semaines. Demain j’irais parler à Gally.
- Moi je m’occuperais de Roy.
- On parle de moi les filles ? demanda celui-ci.
- Non non, répondirent-elles.
- Bien, puis-je vous être agréable en quelque chose ?
- Moi, j’aimerais un parfait à la fraise, dit Elénor.
- Et moi un opéra, rajouta Christie.
- Qu’il en soit ainsi.
Il partit, puis revins dix minutes plus tard, avec les gâteaux et les déposa en disant :
- Mesdemoiselles sont servies.
- Merci, dit Elénor.
- Tant qu’on y est, j’aimerais un nouveau maillot de bain, demanda Christie.
- Mademoiselle exagère, rétorqua Roy.

Le lendemain Elénor alla voir Gally, qui lisait un article sur de vieux joueurs de basket, dans sa chambre. Elénor regarda par la fenêtre et déclara :
- N’as-tu jamais eu envie de chercher l’amour à l’extérieur ?
- Non, j’ai autre chose à faire, c’est pour ça que je reste ici !
Elénor regarda une nouvelle fois par la fenêtre, puis sortie d’un petit emballage de papier un cornet de glace, qu’elle commença à manger sous le nez de Gally.
- Tu ne partages pas ta glace avec tes camarades ? demanda Gally.
- Ce n’est pas une glace. C’est un cornet hypocalorique au lacto bifidus actif ! rétorqua Elénor.
- Je vois que tu apprécies les plaisirs de la vie. Quelle joyeuse luronne !
- Ca te vas bien d’ironiser Mlle Joyeuse Luronne. Tu passes ton après-midi enfermée alors qu’il fait beau, à lire des articles sur de vieux joueurs de basket qui sont tous morts. Ne réveille pas le chat qui dort !
- Bien, jouons au cliché ! Le travail, père de l’inspiration.
- La nécessitée, mère de l’invention, dit Elénor toujours en mangeant sa glace.
- Le chemin de l’excès mène au palais de la sagesse.
- La nuit porte conseil et qui vivra verra.
- Les hommes sont mortels, or Socrate est un homme, donc Socrate est mortel.
- Mangeons et buvons car demain nous mourrons.
- Je me lève, tu te lèves, on se lève tous pour le cornet hypocalorique au lacto bifidus actif. Allez donne moi cette glace !
Gally essaya de prendre la glace de Elénor mais dans l’agitation la glace tombât sur l’article de basket. Elénor en voulant enlever les traces de glace fit tomber l’article révélant un magazine cacher.
- Gally ! Qu’elle fieffée menteuse ! Tu ne lisais pas d’article de basket !
- Non je lisais un magazine de jeu vidéo.
- Ca ne te ressemble pas, tu es sûre que ça va ?
- Je sais pas c’est Roy, J’ai l’impression qu’il veut qu’on sorte ensemble, dit Gally en devenant un peu rouge.
- Et toi ?
- Je ne sais pas trop.
- Essaye d’être heureuse, ça vaux le coup, rassura Elénor.
- Merci Elénor.
- De rien.

Pendant ce temps Christie parlait avec Roy.
- Dis tu comptes lui avouer un jour ? demanda t-elle.
- De quoi ?
- Que tu l’aimes.
- Tu crois que c’est si simple.
- Qui ne tente rien na rien ! Dis lui simplement que tu l’aimes, au moins tu sera soulagé.
- Tu as peut-être raison.
- Evidemment que j’ai raison.
Christie s’éloigna, Roy la regarda s’éloigner en se jurant qu’il avouerait tout à Gally ce soir.

La nuit tombait sur la terrasse. Les rayons de la lune se reflétaient sur la mer.
Gally regardait la mer, Roy la rejoignit.
- Magnifique coucher de soleil, dit-il.
- Oui très beau.
- Gally je… je t’… Je t’aime, avoua Roy.
Des larmes coulaient sur le visage de Gally.
- Excuse moi Gally.
Roy commençait à partir mais Gally le prit par la main.
- Ne pars pas ! Reste, reste avec moi.
Elle se jeta dans ses bras, il l’enlaçât, puis l’embrassa tendrement.

Les filles regardaient la scène par la fenêtre.
- Comme c’est mignon, dit Christie émue.
- Ce n’est pas trop tôt ! rajoutât Cassandra émue elle aussi.
- C’est touchant, renchérie Lisa.
- Qui se ressemble s’assemble ! conclua Elénor.


Voila pour celle la.
Pour la suivante je metterai au fur et a mesur, mais avant ça, faut que je fasse quelque truk au brouillion, que je vous metterai, comme ça vous pourez me dite votre avie.

Oki j'ai hate de lire tout sa^^

Et voila, je met ma new nouvelle, du moin le chap 1, l'autre et en cour. ^^ Normalement ya plus trop de faute. ^^"

(A noter que pour le moment, je n'ets pas raiment trvouer de titre a cette nouvelle et que les titre de chap son peut être amener a changer)

Chapitre 1 : Une Histoire

Il existe plusieurs mondes parallèles au nôtre. Je ne saurais vous dire combien, et de toute façon cela n’a pas de réelle importance. Mais de tous ces mondes, je vais vous parler de celui où il existe une planète du nom de Kailtso.

Cette planète est un peu plus petite que la Terre. Il y a en tout trois continents, l’un s’appelle Zafira. Il est divisé en 5 pays, le plus au Nord se nomme Le Bois de la Mélodie Infinie. Au Sud Est de celui-ci se trouve La Vallée de l’Honneur, la forme de ce pays est telle qu’il enferme avec Le Bois de la Mélodie Infinie deux autres pays, le plus au Nord étant l’Aride, celui du Sud Balmer. Et enfin, le dernier pays de ce continent celui qui se trouve tout au Sud s’appelle Le Sépulcre.
Le deuxième est Nikta. Le pays au Nord-Ouest se prénomme Les Forêts Célestes, au Sud Ouest se trouve Les Terres Mélodiques, et au Sud se trouve Kot. Les Terres Mortes sont entre ces deux pays. Tout au Sud se trouve Traedor.
Et enfin, le dernier continent, celui qui se trouve au milieu des deux autres s’appelle L’Ile Maudite. Peu de gens se sont aventurés sur cette terre, elle est entourée de La Mer des Lamentations. Personne ne sait vraiment qui y vit, et nul ne veut savoir non plus ! Les rares courageux qui y sont allé n’en sont jamais revenus.
Ici il n’y a pas de technologie avancée, la magie, l’alchimie et d’autres forces ont pris sa place.

Il existe six races qui règnent en maître sur ces terres. La plupart ressemblent aux humains, race qui existe également sur cette planète, mais parfois avec quelques variantes.
Les Nekos sont des « hommes chats », ils ressemblent trait pour trait aux humains classiques mais ont une queue dans le bas du dos et des oreilles de chat sur le dessus de la tête. C’est de loin la race la plus grande et la plus puissante physiquement.
Les Elfes de la Forêt on un visage plus allongé et leur couleur de peau peu aussi bien être verte que bleue foncée. Ils vénèrent la nature est se vouent à la protéger.
Les Elfes Pourpre ont eux une couleur de peau se rapprochant plus des « blancs » humains et sont reconnaissables à leurs yeux rouges foncés.
Les Morts Vivants sont comme les humains sauf que leur peau est beaucoup plus pâle ou sombre, cela dépend des individus, parfois même leur peau disparaît à certains endroits pour laisser place à leurs os.
Les Taurens eux, sont des « taureaux sur pattes » comme diraient les humains.
Ces races sont divisées en deux clans : la noble Confrérie composée des Nekos, humains et les Elfes de la Forêt ; et de la fière Triade composée des Elfes Pourpre, Morts Vivants et Taurens.
Ces deux clans sont en paix mais elle est fragile et quelques incidents peuvent survenir parfois. Les pays sont soit de la Triade ou de la Confrérie, si une personne d’un clan vient à s’aventurer dans le territoire d’un autre elle s’expose à un danger de mort.

Mais quelque chose va bientôt chambouler le calme déjà instable sur cette planète. Les apparitions de monstres se font de plus en plus nombreuses, dans certaines régions les autorités quelque soit le clan sont dépassées et les plus hauts magistères ignorent la cause de cela.
Et pourtant, plusieurs héros vont tentés de percer le mystère directement ou pas. Ils ne se connaissent pas, sont bons ou mauvais, de différentes origines ; mais leurs chemins vont finir par se croiser. Ensemble ils vont écrire l’histoire de leur planète, leurs histoires.

Qui sait, se qu’il va leur arriver…

Des nekos!! Miaouuuuw! *SBAAF*
J'aime bien, c'est un bon début!

Bien moi tu connais deja mon avis ^^ j'ai hate d'avoir un peu d'action XD

C'te flemmarde, un peu. (dit celle qui s'est réveillée il y'a moins d'une heure)

Les hommes chats c'est plein de petits Ritsuka!

Mais n'empêche, j'aurais bien imaginé des vrais chats, mais de la taille d'un humain. Comme le prof de danse obsédé par le mariage dans Princesse Tutu (je vous conseille à tous ce manga d'ailleurs, c'est trop marrant x3 mais ils ont que les 2 premiers épisodes en vostfr sur daily...).
Hem, j'suis restée sur les hommes chats moi... (après le cochon et l'éléphant, le chat...)

Si j'ai le courage, le chap 2 sera fini se WE.

Enfin homme chat, c'est surtout d'une jolie catgirl qu'il y aura dans mon histoire hein ! XD (elle s'apelle Fairy).

Oué de l'action, c'est pévue, c'est prévue mais quand... XD
Ah et y'aura du yuri aussi. ^^

Tant mieux, j'en lis pas souvent (du yuri), et j'ai hâte de voir comment tu vas nous écrire ça

MDR j'éspere ne pas te désevoir ! ^^ (M'enfin se sera pas la trame prinsipal non plus).
Y'aurai aussi des hétéro, mais pas de yaoi dsl Eo. ^^" (peut être dans une suite).

Berk, des hétéros... nan, je plaisante *SBAAF*
beeuh... pas de yaoi... bon c'est pas grave, avec toutes les fics yaoi que je lis par jour, j'pourrai m'en passer dans ta fic!

Et voila le chap 2 :


Le vent souffle aujourd’hui sur La Valée de l’Honneur, zone des humains, sa capitale Chanbrian est reliée par une petite route à Balmer qui est l’un des territoire Neko. Les oiseaux chantent, aucun fait extraordinaire ne perturbe la vallée.

Puis on aperçoit au loin deux jeunes humaines et un tigre. L’une d’elle s’appelle Hélène Delval, elle mesure 1m65, est âgée de 15 ans. Ces yeux marron clairs ont un éclat pétillant plein de vie. Ces cheveux bruns mi-longs, dont deux mèches blanches sur les côtés du visage virevoltent au grés du vent.
Elle est vêtue d’un t-shirt marron qui va du cou au bas des seins, où il y a une ceinture en cuir marron également. Son jean bleu est de style taille basse et il y a une chaîne accrochée côté droit ; ces chaussures sont des petites bottes en cuir marron à talon aiguille, nouées par des lacets marron aussi, dont le haut des bottes va en redescendant un petit peu.
Elle aime les félins, se promener ; mais elle aime pardessus tout Tamara. Elle est comme un rayon de soleil pour Hélène, qui lui apporte la joie en ce monde plein de souffrance. Hélène ne supporte pas l’égoïsme et l’hypocrisie.
La deuxième se nomme donc Tamara Angela, a 14 ans et mesure 1m52. Elle a de long cheveux blonds qui descendent jusqu’aux fesses, noués en queue de cheval par un gros noeud doré et deux mèches reste détachées sur les côtés de son visage. Ces yeux bleus foncés reflètent toute la pureté de cette être fragile, ainsi que sa timidité. Tamara est habillée d’une brassière blanche faisant simplement le tour de sa poitrine généreuse. Son mini short blanc lui colle la peau et pardessus ces deux vêtements, elle a une robe blanche transparente. Le haut de la robe est telle qu’elle est attachée au cou par une petite lanière et laisse le dos nu. Le bas de sa robe s’arrête environ 15 cm avant ses pieds et les côtés sont fendus. Les lacets de ses sandales dorées à petits talons plats montent mi mollet. Elle a deux petits bracelets en or à chaque poignet. Mais sa plus grande particularité et qu’elle a des ailes dans le dos. Elle a un amour profond pour les oiseaux, mais aussi et surtout pour Hélène. Elle ne supporte pas la violence et le mal sous toutes les formes possibles et imaginables.
Le tigre Lex a deux grandes canines qui dépasse de la gueule, on trouve se genre de tigre que dans le pays Aride, mais contrairement à ces camarades de même race que lui, il est capable de parler. Il se déplace gracieusement au côtés des deux jeunes filles.

Hélène, Tama et Lex marchent tranquillement sur la route menant à Chanbriant. Personne ne dit un mot, jusqu’a se que Lex brise le silence :
- J’ai faim ! rugit t-il.
- Moi aussi et j’ai soif. soupira Tama.
- Oh ! Mais c’est quoi cette équipe de bras cassés que je me trimbale hein ?! fit Hélène.
- Je te signal quand même, oh cher demoiselle, qu’il y a une heure tu nous avait dit qu’on était bientôt arrivés ! s’exclama Lex indigné.
- Oui, bah ça peut arrivé à tout le monde de se tromper non ? Je vous promet que nous irons dans une taverne dès que nous serons arrivés. rassura Hélène.
- J’y compte bien ! acheva le tigre affamé.
Si Hélène tien tant que ça à aller à la capitale, c’est qu’elle a ressue une lettre de son père disparu depuis six ans, ou il y a écrit dessus : Le début de ta quête commence avec notre seconde maison à Chanbrian, et suis ton destin tracé depuis la nuit des temps.
Hélène est intriguée par cette lettre. Son père n’a pas donné signe de vie depuis six ans et voilà qu’il lui envoie une lettre...

Une demie heure passe et les voilà enfin à destination.
- Ca fait bien longtemps que je n’ai pas mi les pieds dans cette ville. dit Hélène en la contemplant.
Chanbrian est une grand ville médiévale, il s’y trouve le conseille de la Confrérie. Une petite rivière y passe en son milieu.
Tama qui n’y a encore jamais été, la regarde de façon pensive. Mais bientôt l’appelle de l’estomac se fit rappeler.
- Allons dans cette auberge, je connais le propriétaire. dit Hélène en entrant avec ces amis.
- Sa alors ! Hélène comme tu a grandi ! Toi aussi Lex. dit un grand gars bien portant, le propriétaire. Je t’en pris installe toi avec tes amis. Oh, je voie que tu es en galante compagnie. Rajouta t-il en souriant à Tama, qui lui souri timidement à son tour.
- Merci de l’accueil Tom.
- Vous devez être affamés mes pauvres petits, je vous fais apporter boissons et nourritures.
- En attendant, je vais aux toilettes. Dit Tama.
Ils la regardèrent partir et Tom repris :
- Dit moi, où l’as-tu rencontrée ?
- Ah ça, je l’oublierais jamais. Ce jour là, un ange m’est apparu…


*~~~~~*

Vous l'aurez compris, le chap 3 sera un flash-back (du moin le début), j'en ferai d'autre pour raconter l'histoire de certain perso.